La major anglo-néerlandaise a annoncé mercredi entre 7.000 et 9.000 suppressions de postes d’ici à la fin de 2022. Cela représente entre 8 % et 11 % de son effectif mondial. Sur ce total, quelque 1.500 salariés bénéficieront d’un plan de départs volontaires avant la fin de l’année.
Cette réduction de l’effectif sera achevée d’ici la fin de 2022.Après le britannique BP, l’américain Chevron et le français Total , c’est au tour de Shell de réduire ses effectifs afin de faire face à la chute des cours du pétrole et du gaz.
Les deux géants ont en commun de vouloir devenir des producteurs d’énergies plus propres durant les prochaines décennies.
« Nous faisons cela parce que nous le devons et que c’est la bonne chose à faire pour l’avenir de l’entreprise. Nous devons être une organisation plus simple, plus rationnelle, plus compétitive, plus agile et capable de répondre aux besoins des clients »Ben van Beurden
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