L’Etat gabonais a lancé en novembre 2018, une campagne de mise aux enchères de 35 blocs pétroliers maritimes sous forme d’appel d’offre. Le ministre du Pétrole a exprimé son souhait de voir des compagnies japonaises manifester leur intérêt pour ces blocs.
Le ministre du Pétrole, du gaz et des mines, Vincent de Paul Massassa a reçu le 18 septembre à Libreville, le représentant-résident de l’Agence japonaise de coopération Internationale (Jica), Yonezaki Eiro.
Au cours de ce tête-à-tête, le ministre Massassa a émis le vœu de voir les investisseurs de l’empire du soleil levant se manifester quant aux 35 blocs pétroliers mis aux enchères dans le cadre du 12e appel d’offre internationale, toujours en cours. Toute chose qui permettrait de redynamiser le secteur de l’or noir, fortement impacté par les effets induits du coronavirus.
« Nous avons de très bonnes relations avec le Gabon, d’ailleurs nous achetons le pétrole gabonais et sommes très bons partenaires dans plusieurs secteurs », a réagi Yonezaki Eiro.
C’est depuis novembre 2018 que l’Etat gabonais a lancé la campagne de mise aux enchères de 35 blocs pétroliers maritimes sous forme d’appel d’offre dont, 23 en offshore profond, 12 en offshore conventionnel. 24 sociétés ont déjà manifesté leur intérêt, dont 18 pour des blocs en offshore peu profond et 6 en offshore profond et ultra profond.
La promotion desdits blocs pétroliers a commencé en Afrique du Sud avant de se poursuivre à Londres, aux Etats-Unis, au Brésil, en Inde, en Chine, en Russie, à Singapour et en Guinée équatoriale.
Source : Agence Ecofin
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