Le principal outil pour respecter cette feuille de route sera l’électrification des plateformes en mer, appelées à être approvisionnées en électricité propre fournie par les barrages hydrauliques ou des éoliennes flottantes
La mesure porte sur la seule phase de production de pétrole et de gaz naturel dont le gros des émissions de gaz à effet de serre survient ultérieurement, au stade de la consommation.
Avant d’approcher la neutralité carbone en 2050, le groupe détenu à 67% par l’Etat norvégien, réduira ses émissions de 40% d’ici à 2030, et de 70% d’ici à 2040, a-t-il indiqué dans un communiqué.
Le principal outil pour respecter cette feuille de route sera l’électrification des plateformes en mer, appelées à être approvisionnées en électricité propre fournie par les barrages hydrauliques ou des éoliennes flottantes. Equinor table aussi sur des mesures d’efficacité énergétique et sur la numérisation.
Se disant attaché à l’Accord de Paris qui vise à limiter à 1,5 ou 2°C le réchauffement, le groupe s’aligne ainsi sur les objectifs climatiques de la Norvège à l’horizon 2030. Plus gros producteur d’hydrocarbures d’Europe de l’Ouest, le pays nordique peine à ce stade à réduire ses émissions: en 2018, celles-ci étaient supérieures de 1,1% à leur niveau de 1990.
« Trop peu trop tard ».
L’ambition dévoilée par Equinor a été diversement accueillie. « C’est bien que l’industrie pétro-gazière norvégienne soit au moins aussi ambitieuse que les objectifs climatiques du gouvernement », a réagi Glen Peters, directeur de recherche au centre norvégien de recherche sur le climat Cicero.
« Si tous les secteurs en Norvège font la même chose que le secteur pétrolier, la Norvège sera sur les rails pour remplir les objectifs de l’Accord de Paris », a-t-il dit à la radiotélévision publique NRK.
Pour Andreas Randøy de l’ONG de défense de l’environnement Natur og Ungdom, c’est en revanche « trop peu trop tard ». « En 2050, on ne devrait pas avoir de production de pétrole sur le plateau continental norvégien », a-t-il tweeté.
Une responsable de la branche norvégienne des Amis de la Terre, Helga Lerkelund, a aussi déploré qu’Equinor au même moment veuille engager des forages dans la grande baie d’Australie, où des incendies ont ravagé près de huit millions d’hectares et fait 24 morts depuis septembre.
Les objectifs climatiques d’Equinor ne portent que sur les activités norvégiennes du groupe, également présent au Brésil, en Angola ou aux Etats-Unis notamment.
Le principal outil pour respecter cette feuille de route sera l’électrification des plateformes en mer, appelées à être approvisionnées en électricité propre fournie par les barrages hydrauliques ou des éoliennes flottantes. Equinor table aussi sur des mesures d’efficacité énergétique et sur la numérisation.
Se disant attaché à l’Accord de Paris qui vise à limiter à 1,5 ou 2°C le réchauffement, le groupe s’aligne ainsi sur les objectifs climatiques de la Norvège à l’horizon 2030. Plus gros producteur d’hydrocarbures d’Europe de l’Ouest, le pays nordique peine à ce stade à réduire ses émissions: en 2018, celles-ci étaient supérieures de 1,1% à leur niveau de 1990.
« Trop peu trop tard ».
L’ambition dévoilée par Equinor a été diversement accueillie. « C’est bien que l’industrie pétro-gazière norvégienne soit au moins aussi ambitieuse que les objectifs climatiques du gouvernement », a réagi Glen Peters, directeur de recherche au centre norvégien de recherche sur le climat Cicero.
« Si tous les secteurs en Norvège font la même chose que le secteur pétrolier, la Norvège sera sur les rails pour remplir les objectifs de l’Accord de Paris », a-t-il dit à la radiotélévision publique NRK.
Pour Andreas Randøy de l’ONG de défense de l’environnement Natur og Ungdom, c’est en revanche « trop peu trop tard ». « En 2050, on ne devrait pas avoir de production de pétrole sur le plateau continental norvégien », a-t-il tweeté.
Une responsable de la branche norvégienne des Amis de la Terre, Helga Lerkelund, a aussi déploré qu’Equinor au même moment veuille engager des forages dans la grande baie d’Australie, où des incendies ont ravagé près de huit millions d’hectares et fait 24 morts depuis septembre.
Les objectifs climatiques d’Equinor ne portent que sur les activités norvégiennes du groupe, également présent au Brésil, en Angola ou aux Etats-Unis notamment.
Le principal outil pour respecter cette feuille de route sera l’électrification des plateformes en mer, appelées à être approvisionnées en électricité propre fournie par les barrages hydrauliques ou des éoliennes flottantes. Equinor table aussi sur des mesures d’efficacité énergétique et sur la numérisation.
Se disant attaché à l’Accord de Paris qui vise à limiter à 1,5 ou 2°C le réchauffement, le groupe s’aligne ainsi sur les objectifs climatiques de la Norvège à l’horizon 2030. Plus gros producteur d’hydrocarbures d’Europe de l’Ouest, le pays nordique peine à ce stade à réduire ses émissions: en 2018, celles-ci étaient supérieures de 1,1% à leur niveau de 1990.
« Trop peu trop tard ».
L’ambition dévoilée par Equinor a été diversement accueillie. « C’est bien que l’industrie pétro-gazière norvégienne soit au moins aussi ambitieuse que les objectifs climatiques du gouvernement », a réagi Glen Peters, directeur de recherche au centre norvégien de recherche sur le climat Cicero.
« Si tous les secteurs en Norvège font la même chose que le secteur pétrolier, la Norvège sera sur les rails pour remplir les objectifs de l’Accord de Paris », a-t-il dit à la radiotélévision publique NRK.
Pour Andreas Randøy de l’ONG de défense de l’environnement Natur og Ungdom, c’est en revanche « trop peu trop tard ». « En 2050, on ne devrait pas avoir de production de pétrole sur le plateau continental norvégien », a-t-il tweeté.
Une responsable de la branche norvégienne des Amis de la Terre, Helga Lerkelund, a aussi déploré qu’Equinor au même moment veuille engager des forages dans la grande baie d’Australie, où des incendies ont ravagé près de huit millions d’hectares et fait 24 morts depuis septembre.
Les objectifs climatiques d’Equinor ne portent que sur les activités norvégiennes du groupe, également présent au Brésil, en Angola ou aux Etats-Unis notamment.
Le principal outil pour respecter cette feuille de route sera l’électrification des plateformes en mer, appelées à être approvisionnées en électricité propre fournie par les barrages hydrauliques ou des éoliennes flottantes. Equinor table aussi sur des mesures d’efficacité énergétique et sur la numérisation.
Se disant attaché à l’Accord de Paris qui vise à limiter à 1,5 ou 2°C le réchauffement, le groupe s’aligne ainsi sur les objectifs climatiques de la Norvège à l’horizon 2030. Plus gros producteur d’hydrocarbures d’Europe de l’Ouest, le pays nordique peine à ce stade à réduire ses émissions: en 2018, celles-ci étaient supérieures de 1,1% à leur niveau de 1990.
« Trop peu trop tard ».
L’ambition dévoilée par Equinor a été diversement accueillie. « C’est bien que l’industrie pétro-gazière norvégienne soit au moins aussi ambitieuse que les objectifs climatiques du gouvernement », a réagi Glen Peters, directeur de recherche au centre norvégien de recherche sur le climat Cicero.
« Si tous les secteurs en Norvège font la même chose que le secteur pétrolier, la Norvège sera sur les rails pour remplir les objectifs de l’Accord de Paris », a-t-il dit à la radiotélévision publique NRK.
Pour Andreas Randøy de l’ONG de défense de l’environnement Natur og Ungdom, c’est en revanche « trop peu trop tard ». « En 2050, on ne devrait pas avoir de production de pétrole sur le plateau continental norvégien », a-t-il tweeté.
Une responsable de la branche norvégienne des Amis de la Terre, Helga Lerkelund, a aussi déploré qu’Equinor au même moment veuille engager des forages dans la grande baie d’Australie, où des incendies ont ravagé près de huit millions d’hectares et fait 24 morts depuis septembre.
Les objectifs climatiques d’Equinor ne portent que sur les activités norvégiennes du groupe, également présent au Brésil, en Angola ou aux Etats-Unis notamment.
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